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    La procession de la Sanch

    Le vendredi saint

    La confrérie de la Sanch (sang en français) fut fondée en 1416 au sein de l’église Saint-Jacques, suite à la visite à Perpignan du dominicain Saint Vincent Ferrier. Elle accompagnait à l’origine les condamnés à mort dans leurs derniers instants et défilait en procession dans les rues de la ville la nuit du jeudi saint. Interdite au XVIIIe siècle, car jugée trop démonstrative, la procession ne fit son retour dans les rues de la ville qu'en 1950. De nos jours, c’est le vendredi saint que les pénitents vêtus de la caparutxa, pour les hommes, ou de la mantille, pour les femmes, parcourent le centre-ville à partir de l'église Saint-Jacques en portant les misteris représentant les scènes de la Passion du Christ. Le cortège est ouvert par le regidor, vêtu de rouge et muni d'une cloche, qui est accompagné de tambours.

    La confrérie de la Sanch (sang en français) fut fondée en 1416 au sein de l’église Saint-Jacques, suite à la visite à Perpignan du dominicain Saint Vincent Ferrier. Elle accompagnait à l’origine les condamnés à mort dans leurs derniers instants et défilait en procession dans les rues de la ville la nuit du jeudi saint. Interdite au XVIIIe siècle, car jugée trop démonstrative, la procession ne fit son retour dans les rues de la ville qu'en 1950. De nos jours, c’est le vendredi saint que les pénitents vêtus de la caparutxa, pour les hommes, ou de la mantille, pour les femmes, parcourent le centre-ville à partir de l'église Saint-Jacques en portant les misteris représentant les scènes de la Passion du Christ. Le cortège est ouvert par le regidor, vêtu de rouge et muni d'une cloche, qui est accompagné de tambours.

    La confrérie de la Sanch (sang en français) fut fondée en 1416 au sein de l’église Saint-Jacques, suite à la visite à Perpignan du dominicain Saint Vincent Ferrier. Elle accompagnait à l’origine les condamnés à mort dans leurs derniers instants et défilait en procession dans les rues de la ville la nuit du jeudi saint. Interdite au XVIIIe siècle, car jugée trop démonstrative, la procession ne fit son retour dans les rues de la ville qu'en 1950. De nos jours, c’est le vendredi saint que les pénitents vêtus de la caparutxa, pour les hommes, ou de la mantille, pour les femmes, parcourent le centre-ville à partir de l'église Saint-Jacques en portant les misteris représentant les scènes de la Passion du Christ. Le cortège est ouvert par le regidor, vêtu de rouge et muni d'une cloche, qui est accompagné de tambours.

    Le regidor ouvre la marche
										(photo de Luc)
    Les tambours suivent le regidor
										(photo de Luc)
    Croix des outrages
										(photo de Luc)
    Rue Jeanne d'Arc
										(photo de Luc)
    Rue de l'Église La Réal
										(photo de Luc)
    Rue Grande La Réal
										(photo de Luc)
    Rue Grande La Réal
										(photo de Luc)
    Rue Jeanne d'Arc
										(photo de Luc)
    Rue Grande La Réal
										(photo de Luc)
    Rue Jeanne d'Arc
										(photo de Luc)
    Rue Jeanne d'Arc
										(photo de Luc)
    Rue Grande La Réal
										(photo de Luc)

    château, fortifications     monument religieux

    château, fortifications

    monument religieux

    Jean Beugnet

    «Procession qui se faisait la nuit du Jeudi Saint»

    années 1780