Pour finir le festival en beauté, la joyeuse bande de Pulcinella, toujours un plaisir.
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Colin Jore est ses acolytes font de la musique. On est loin de la fanfare à mobylette mais pour rouler, ça roule. Un plaisir.
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Une belle surprise venue de Sète. Encore un très beau moment.
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Le monde à nos pieds par la grâce d'un trio envoûtant. Ils étaient déjà passés à Planèzes et on ne regrette pas leur retour.
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Ça flambe et ça bouge. De l'électricité dans l'air, de la poésie sous les pins.
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Ils viennent d'Auvergne mais leur bourrée est d'ailleurs, un bien beau moment.
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On les avait déjà vus à Latour-de-France et à l'Anthropo mais ils labourent toujours aussi profond. Pour tracter, ça tracte !
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Autour d'Alfred Vilayleck, un big band d'un autre genre.
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Toujours aussi lumineuses les dames aux cruches même quand il faut en remplacer une au débotté ! L'apéro comme on l'aime.
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Le Bénin sous les pins du jardin Loubet de Sceaury, ça nous va comme un gant.
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Le bonheur d'être de Davy Kilembé et de ses 4 partenaires
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Encore une belle découverte avec la voix et les textes de Matéo Langlois.
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Mister Leufait lever la poussière à Planèzes. Ça balance !
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Voyage en-dehors des clous avec l'Impasse Humaniste.
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De la poésie et du rock. Une ouverture en beauté pour le festival.
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