(voir surtout la page dédiée à la Grande Fanfare)
Portraits de fanfare - Jazzèbre 2021 - Répétition (pas encore sur le site…)
À la maison Jazzèbre on rencontre Aude Ortiz et Samir Mouhoubi pour leur spectacle "Raoul et moi", Legraux Tobrogoï pour parler musique, création, covid, etc. et on finit par une heure avec Yann Causse pour 33 ans de Jazzèbre.
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On retrouve Clément Janinet pour un tisser une toile toute en nuance entre tradition et modernité
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Une musique qui pétille. Daniel Humair, Samule Blaser et Keiri Känzig nous concoctent un plat digne d'un trois étoiles.
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Un nom qui résonne avec la musique du trio. On aurait aimé bien sûr avoir Élodie Pasquier, artiste compagnon de l'année et membre "normal" du trio mais bravo à Sylvain Rifflet qui la remplace avec brio.
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L'ombre et la lumière, le sommeil et l'éveil, le silence et le cri. On embarque avec Hélène Breschand pour Pandore. Et Sarah Maskine, délaissant sa guitare pour un contrepoint pictural.
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L'hmour toujours et la musique surtout. Heureux de revoir ce grand monsieur qui nous amène en voyage tout en finesse.
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Le flamenco revu cette fois-ci par un breton-normand et le jeu en vaut la chandelle.
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En contrepoint du beau documentaire "Billie" de James Eskine, un min-concert en hommage à Billie Holiday.
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La météo incertaine nous a empêché de profiter de Legraux Tobrogoï à Consolation, c'est un crève-cœur mais on a au moins pu profiter de la grande fanfare à Collioure et c'est toujours le même bonheur, tout ça aux couleurs d'octobre rose.
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Une voix qui se chauffe, qui monte, qui emporte avec ses deux complices fusionnels : Mathieu Sourisseau encore à la basse cette fois et on ne regrette pas et Sébastien Bacquias à la contrebasse. Deux basses mais la musique monte haut avec Etenesh Wassié, l'Éthiopie et pus à Alenya.
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Comme chaque année depuis quelques temps, le musée Rigaud accueille cette année encore des élèves de la section Jazz du Conservatoire. On en a pour les oreilles et pour les yeux. Et au-delà des œuvre si bien présentées lors de cette balade en muisque, l'occasion de conseiller à ceux qui n'ont pas encore vu l'exposition de cette année "Portraits en majesté" de ne pas la rater, c'est une très belle exposition.
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Naïsiwon El Aniou fait revivre Billie Holiday au travers des mots même de Billie dans on autobiographie. Le blues dans tous ses états et une magnifique mise en scène de la vie compliquée de cette immense dame.
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Un lieu spécial et un très beau moment. Quand un alsacien revisite le flamenco accompagné par un accordéon plein de verve, on part en balade ailleurs.
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5 personnages en quête de son et d'image avec leur voix et leur corps pour seul instrument. Tout bouge et tout fait son.
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Un pique-nique à la maternité d'Elne, l'occasion de faire une belle visite guidée d'Elne, trop méconnue de beaucoup de ses voisins perpignanais ou autres. Sans même pénéter dans le merveilleux cloître, on fait un trajet dans le temps bienvenu.
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La soirée au Vauban se poursuit avec le duo de deux habitués du festival, habitués à jouer en quartet et s'adonnant à une formule inédite laissant de la place à chacun.
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Le cinéma Vauban nous reçoit pour un double concert et on commence par le duo rugueux Mike Ladd & Mathieu Sourisseau. La seule chose qu'on regrette, c'est de ne pas tout comprendre des textes proférés par Mike Ladd avec une intensité sans faille, accompagné par l'homme orchestre Mathieu Sourisseau même s'il se contente d'une guitare pour ça.
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On retrouve ce bel endroit pour un trio atypique : violon, contrebasse, accordéon et ça donne une très très belle soirée.
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Les années passent et Ceux Qui Marchent Debout ont oublié d'en tenir compte. La fête à Amélie et on fait durer le plaisir bien au-delà des règles !
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Un premier pique-nique en Vallespir et le bonheur de retrouver la grande fanfare avec en prime une petite balade à Palalda.
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On connaissait déjà Imperial Quartet, Imperial Orpheon qui avait remué le public malgré les contraintes l'an dernier à Laroque. La déclinaison en octet, le Grio a été un régal.
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La présentation du programme et un magnifique concert de By the Sket avec une présence en scène magique d'Alima Hamel. Un grand moment
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