(voir aussi la page dédiée à la Grande Fanfare)
Portraits de fanfare - Jazzèbre 2019 - WE1 - 29 & 30 septembre 2019
Portraits de fanfare - Jazzèbre 2019 - WE2- 12 & 13 octobre 2019
Sur les traces d'Astor Piazzola, Daniel Mille nous emmène, tout en sobriété, en lyrisme retenu. Un accordéon et des cordes à l'unisson avec la contrebasse de Diego Imbert et un superbe trio de violoncelles. Un beau final pour le festival Jazzèbre 2019.
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Sonny Troupé met en joie le public de Céret qui, comme à l'habitude, ne demande que ça. Une soirée fusionnelle qui se prolonge.
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Fred Pallem aux fourneaux, des jeunes musiciens de toute l'Occitanie en ingrédients. On déguste.
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Des musiciens splendides au service d'une musique qui les mérite. On est à la lisière de la musique contemporainte et du jazz et ici ça n'a rien de péjoratif, au contraire.
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La voix d'Abdullah Miniawy tient le fil tissé par le trio. On part en voyage et la trompette d'Éric Truffaz se coule dans la caravane.
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Il y a certes de la musique bretonne là-dessous mais bien plus que ça et pas seulement parce qu'on fait aussi des détours par la Syrie. Il y a surtout quatre grands musiciens qui créent un monde, un beau monde.
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Du Conservatoire émergent beaucoup de jeunes pousses prometteuses : des musiciens et des groupes. Le duo Loïs Salgueiro & Sylvain Guerrier est le lauréat 2019 de Jazz en cours (soutenu par le club des partenaires Jazzèbre) et leur musique mérite bien ça.
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Les élèves de la section jazz du Conservatoire en quintet. Plein de promesses.
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De la tendresse, de la folie, du rire. Un beau cadeau que nous fait Jur avec Daniel Malavergne en invité tout naturel dans un bel endroit. Le troisième pique-nique de l'année est aussi réussi que les deux premiers. Le soleil sur la tête et le soleil dans le cœur.
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Depuis la porte de la Font, la fanfare nous guide dans l'entrelacs des rues et des places d'Ille. Jur nous offre un petit bijou de mini-spectacle ici, Alain Sanchez nous raconte Ille là et la fanfare profite de toutes les occasions pour mettre l'ambiance.
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Quand la fanfare nous réjouit le dimanche, c'est qu'elle a bien travaillé le samedi et le mot travail n'est pas galvaudé : ils bossent dur et longtemps ! Un petit tour dans les coulisses à la Casa le 27 septembre et le 12 octobre en hommage à ce si bel ensemble musicale et humain.
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Musique latine, cubaine mais pas seulement. Une belle fin pour 3 jours à la Casa.
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De la joie, de l'émotion. Carlos Maza nous embarque pour le pays Mapuche et Cuba n'est jamais très loin.
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Un improbable duo : deux clarinettes basses ou deux saxophone soprano suivant les moments, à peine un peu de duo clarinette/sax. Mais toujours une complicité virtusose coulant d'évidence.
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Une musique râpeuse, véhémente pour ce nouveau bridge. Parler, crier, chanter, souffler.
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Voix sobre, sax entêtant, contrebasse maçonnante. On revisite des standards par un versant atypique.
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Un bien beau moment de poésie pure. De quoi s'élargir les poumons et l'âme. Un minimalisme riche à profusion.
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On part avec les voix de l'Oyapock entre Guyane et Brésil chez les Wayampi et autres habitants de l'Amazonie. La musique du quartets'en inspire, se réivente. Bon voyage !
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Un solo de batterie quasiment d'une pièce. On perd de sens du temps mais Julien Sartorius, lui, ne perd jamais le sens. Quand la batterie est autre chose que du rythme tout en étant le rythme.
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Un tour de force que de mettre si bien en son, en musique, cette rencontre entre les musiciens de Blanc et les détenus du Centre Pénitentiaire de Perpignan autour des textes des détenus. De l'émotion sans masque pour bâtir un beau concert.
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La maison Jazzèbre est un bel endroit pour les rencontres. Et le patio voit cette année encore de belles rencontres pendant le festival.
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Une belle balade, une bonne grimpette, un beau balcon loin au-dessus de la plaine. Une belle ambiance de pique-nique zèbre et les Ânes de Palinkov en cerise sur le gâteau. Enfin une cerise, façon de parler, c'est un vrai plateau qu'ils nous ont offert.
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Voyage vers le nord ou vers les Pyrénées, voyage entre l'espace et le temps. Du sud au nord ou ailleurs.
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Un beau concert, chargé d'émotions, une rencontre musicale mieux que réussie entre le Sénégal, l'Espagne et plus encore.
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Avec les quatre baladins de Auprès de ma Blonde, on savait que la magie relevait du naturel, on a pu en avoir une bien belle confirmation. Et encore, sur les photos, on ne voit pas, pour des raisons de confidentialité, la belle entente établie avec les patients de l'hôpital.
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Sous la pulsion de la fanfare béninoise, les spectateurs entrent en transe, le soleil est dans le ciel et sur l'herbe de Marcevol.
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Le prieuré est en fête, les petits chemins du plateau de Marcevol se garnissent de zèbres. C'est pique-nique !
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La grande fanfare a répété à la Casa, elle anime le quai Vauban puis les Halles tout près de la maison Jazzèbre.
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Le musée Rigaud accueille des élèves de la section Jazz du Conservatoire. On en a pour les yeux et les oreilles. Pour les batteurs on se dépalce aux Halles Vauban.
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La Maison du Temps Libre fait le plein à Eus. Jazzèbre 2019 démarre entre flûte et électro.
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En prélude au festival, la présentation du programme et le quarter House of Echo qui nous emmène sur le fil libre du temps.
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