La maison Jazzèbre est un bel endroit pour les rencontres. Et le patio a vu de belles rencontres pendant le festival : avec Michel Marre qui était déjà là il y a 30 ans ; de joyeux membres de la Grande Fanfare autour de Daniel Malavergne ; Prêle Abelanet et deux autres membres de Cavale ; le trio Hermia/Ceccaldi/Darrifourcq. De bien beaux moments.
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Ambiance toujours aussi chaude à Céret pour accueillir la voix de Dan Gharibian.
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"God at the Casino" et de fait c'est une recréation du monde à laquelles ils nous convient, Il suffit de regarder les têtes du public comme des musiciens à la fin du concert pour s'assurer qu'on a bien vécu un grand moment.
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Venu de Catalogne sud, Ramon Prats et Albert Cirera nous embarquent dans une séance free inventive et explosive, un régal.
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Les gagnants (mais la notion de vainqueur est secondaire là-dedans) de Jazz en cours. Jazz électrique et lyrique et plein de talents à faire fructifier.
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Dans le cadre de Jazz en cours, le trio Tsunete (parfois à 4 comme les mousquetaires) joue dans tous les sens du terme. De la musique, de la fraîcheur, de l'humour.
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De la muisque et de la science et surtout du plaisir. Le Grand Orchestre du Tricot à l'assaut de la musique de Christophe Monniot. Les murs de Jéricho emportés.
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Dans le cadre des grands entretiens scientifiques de Jazzèbre, la vocalchimie d'André Minvielle.
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Les Toulousains font péter !
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En prélude au concert du tricot, Christophe Monniot dirige les élèves dans un extrait de Jéricho Sinfonia et on n'est pas en audition, on a de la vraie musique.
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Papanosh invite Roy Nathanson et Napoléon Maddox au carrefour de la musique et de la parole.
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Encore une fois sur les traces de Ernest Pignon-Ernest avec Louis Sclavis et un superbe quartet.
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De la magie : une musique et des interprètes en fusion.
Pour la galerie, il faut encore attendre…
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Fidel Fourneyron à la rencontre de Cuba. Ça brille
Pour la galerie, il faut encore attendre…
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Le jazz londonien visite Perpignan.
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Improbable rencontre, non pas entre une machine à coudre et un parapluie, mais entre une harpe, un basson et un saxopone ou une clarinette. On en redemande.
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Il fait soleil à Marcevol. L'herbe est accueillante et les Banan'n Jug nous en font voir de toutes les couleurs.
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La fanfare nous accueille devant le prieuré et remet ça dans le village au retour d'une balade sur les chemins buissoniers autour de Marcevol.
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Un magnifique et ludique trio pour une musique inventive jusqu'à plus soif. Et une petite participation de Daniel Malavergne.
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La grande fanfare, c'est aussi beaucoup de travail, des répétitions pendant des heures mais, rassurez-vous, ce n'est pas triste !
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On est presque en famille à la Maison Jazzèbre tant ces musiciens font partie de l'histoire des zèbres et rien n'est démodé.
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On embarque sur la musique de Prêle et ça élargit le cœur. Et ça se bonifie avec les années, on monte vers les cimes.
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La Fanfarfelue s'est levée de bonne heure pour nous accueillir, fait remuer le train et en remet une couche à Caudiès-de-Fenouillèdes.
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Un très beau quartet, improbable et évident, inclassable et superbe et on s'en va, furtifs, sur des sentiers secrets.
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Ils étaient déjà du festival en 2005. On les retrouve à Eus et on file à l'est et pas que.
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Trois chanteuses complices et le pique-nique s'ouvre sur le monde.
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Premier pique-nique à la chapelle de l'Arca, à St-Nazaire et la fanfare nous accueille et accompagne l'apéro.
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Entre le saxophone basse de Frédéric Gastard et la flûte de Mélanie Steine, ajouter une batterie, deux violoncelle, un autre saxophone et on est parti veres ailleurs.
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Marion Cousin nous emmène aux Baléares pour des chants populaires tandis que le violoncelle de Gaspar Claus rôde autour.
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La fanfare laisse la place à Michel Marre & la Cobla Mil Lenaria pour un Sardanajazz 2018 ou comment faire jazzer la sardane.
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La fanfare joue devant les Galeries Lafayette et les membres d'Ouroboros investissent la marquise des mêmes Galeries. Puis en suivant la fanfare, on trouve Nathalie Guida chantant au balcon du Mess et la fanfare nous conduit place de la République.
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Une semaine est passée. Demain la fanfare joue pour le premier pique-nique 2018 et elle joue déjà cet après-midi en ville. Alors, une fois encore, on va voir la fanfare en plein travail.
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C'est dimanche et on en est tout juste à la présentation du festival mais la fanfare répète déjà.
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Avant même la présentation Pour la présentation du festival, Antoinette trio nous emmènent au Portugal, au Brésil et ailleurs. Ils nous emmènent et c'est ce qui compte !
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