Final en fanfare
La
météo incertaine a conduit à l'annulation de la venue des Musiques à
Ouïr mais le pique-nique a quand même pu avoir lieu et la grande
fanfare du festival nous a donné l'aubade avant, pendant et après.
Toujours un plaisir de les voir se faire plaisir. Un final presque
intimiste, familial, la famille des zèbres avant qu'elle s'ébroue et se
sépare en attendant l'année prochaine pour les retrouvailles en fanfare.
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Le quartet de Ambrose Akinmusire
Une
trompette qui peu à peu s'échauffe, un chemin décalé, entre autres du
côté des musiques répétitives (pour moi souvenir des années 70…), des
portes s'ouvrent.
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Le grand ensemble Koa au théâtre
Les ex-perpignanais ont fait du chemin. La machine Koa a du répondant et leur musique de l'épaisseur. Ça fait plaisir à voir.
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Le duo Schwab - Soro au théâtre
Encore
une fois, la salle Cocteau abrite un concert comme on les aime, un lieu
et une musique intimiste, des apéritifs comme ça, on redemande
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Louis Sclavis quartet
Le
trio de Louis Sclavis (Gilles Coronado et Benjamin Moussay) augmenté de
Keyvan Chemirami. nous emmène sur les routes de la soie et du sel.
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Le trio de Vincent Courtois pour Bandes Originales
Les
BO comme on aimerait les entendre plus souvent. Un trio jubilatoire
entre le violoncelliste et les deux saxophonistes Daniel Erdmann
et Robin Fincker et un grand écran dans les oreilles.
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Palomar
Daniel
Malavergne a laissé la fanfare et le trio avec Patrick Vaillant et
Frédéric Cavallin se promène dans les paysages d'Italo Calvino
avec Palomar. Un goût de sud et de musique populaire.
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Vincent Courtois en solo (et en Master Class à l'Anthropo)
Le violoncelle, ça fait tout. Il suffit de se laisser emporter. Alors on se laisse emporter.
Plus tôt, dans l'après-midi, Vincent Courtois donne une Master Class à l'Anthropo (un endroit à fréquenter). Un beau moment.
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L'ONJ au Conservatoire
Une
machine de combat. Ça démarre au taquet et ça ne baisse jamais de
régime. Un remède à la neurasthénie qui devrait être subventionné pa la
Sécu.
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Donkey Monkey au Conservatoire
Deux
musiciennes fusionnelles pour une musique décalée qui vous embarque
pour un voyage épatant. Une gourmandise comme ça, on en redemande.
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Pulcinella à Port-Vendres
Les Toulousains ont emballé les pique-niqueurs étalés sur la pelouse dans un cadre idéal. La vie est belle.
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La Fanfarfelue à Port-Vendres
Encore
un beau dimanche pour la fanfare rose qui file la note de la gare au
port et du port au jardin du dôme. Et en prime l'arrivée des musiciens
de Pulcinella depuis la mer bleue
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Le trio Barolo à Alenya
Un
samedi (et même tout un week-end) bien chargé qui commence avec la
fanfare au marché de Céret. Il faut beau, Il y a foule dans les rues.
Juste ce qu'il faut pour que la fanfare ait la pêche.
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Auditive Connection à la fac
Le
concert de la fac, une case cochée par les gourmands de nouveautés. Et
on n'a pas été déçu. Une musique envoûtante, une chanteuse
passionnante, un remplaçant de luxe : Hasse Poulsen qui se régale, que
demander de plus.
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Mathis Haug & Stephan Notari au jardin botanique de St-Cyprien
Les
cyclistes ont pédalé, les fainéants dans mon genre ont laissé traîner
la matinée jusqu'à midi (enfin, pour mon compte c'était les vendanges
littéraires et la Fanfarfelue, j'avais des excuses). Et tout le monde
profite de la pelouse pour écouter du blues enjoué (et oui !).
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La Guiguinche à St-Ferréol
La
météo aux petits oignons et des musiciens qui se mettent au diapason,
que ce soit dans les solos de la balade apéritive ou dans le concert de
l'après-midi. C'est un bien beau dimanche.
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La Grande Fanfare Jazzèbre à St-Ferréol.
Un temps de rêve pour une journée superbe.
La
fanfare dez zèbres poursuit sont trépidant week-end. Même après le
repas, alors que l'heure de la sieste sonne, nos valeureux fanfarons
n'ont besoin que de quelques minutes pour faire monter le son.
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Ray Lema à Céret- Nzimbu
Une
salle comble. Une musique en finesse, des chants qui parlent, les
musiciens et le public qui communient. Il y a des jours où les choses
sont simples malgré les échos de choses qui le sont moins.
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Samuel Blaser & Gerry Hemingway au musée de Céret
On est toujours à Céret, dans l'exposition de Jaume Plensa puis dans le hall pour suivre la musique magique d'un superbe duo.
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La fanfare au marché de Céret
Un
samedi (et même tout un week-end) bien chargé qui commence avec la
fanfare au marché de Céret. Il faut beau, Il y a foule dans les rues.
Juste ce qu'il faut pour que la fanfare ait la pêche.
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Brass Mask à la Casa Musicale en ouverture du festival
Soirée
cuivrée à la Casa, on en prend plein les oreilles. Le seul regret,
c'est que les musiciens restent sur scène plutôt que de sortir et de
descendre en ville (l'envie devait les démanger aussi, ils ont bien
fini en bas de la scène). On les suivrait avec un plaisir sans mélange
et peut-être trouverait-ont le Mississipi à la place de la Têt ?
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Une après-midi en fanfare de la Casa Musicale au centre ville
La
grande fanfare (plus de 40 fanfarons pour cette fois) répète, pleine de
sérieux à la Casa Musicale où on les retrouve vers 15h30. Puis on s'en
va vers St-Jacques (petit concert) puis la médiathèque (petit concert
devant puis concert en haut de la médiathèque). Et on continue par un
concert place de la Loge. Et pour finir, la fanfare met le feu pour
l'apéro rue de l'Incendie.
L'après-midi avec la fanfare, c'est fatiguant mais c'est pas triste.
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La présentation : Décapotable sur la Corniche
Et
on commence avec Arthur Daygue qui révise une certaine presse avec
un humour décapant et nous offre des compositions charnues balancée
avec une pêche bienvenue par lui et et ses compères saxophonistes
Marc Maffiolo au grave et Vladimir Vilar-Mercader, plus le
batteur-acteur Fabien Raimbaud. Une bien belle soirée et un bien beau
démarrage
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