C'est fini… À l'année prochaine. Et merci à tous les zèbres… Et ci-dessous, 14 galeries de photos en commençant par la fin et en finissant par le début. |
Le dessert : la grande fanfare à Collioure Jazzèbre 2011 est fini mais histoire de bien fêter la fin, les périgrinations musicales de la grande fanfare dans les rues de Collioure avant un dernier concert sur la plage après le pique-nique au milieu des baigneurs, de l'équipe du zèbre et du soleil au rendez-vous.. Voir la galerie-photos |
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Final : Sidony Box Avant les concerts du soir au Grenat, c'est au Carré que ça se passe. Avant le trio latino de Harold Lopez Nussa devant une assistance conquise à l'avance (pas de photos pour celui-là), un très beau moment avec le jeune trio de Sidony Box qui allient inspiration et pêche. Excellent. Voir la galerie-photos |
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Final : le Big Band de la Casa Du côté de l'Archipel, tout contre le Grenat, le Big Band de la Casa joue les standards et fait danser. C'est la journée de tous les Jazz. Voir la galerie-photos | ![]() |
Final : la grande fanfare à l'Archipel La fanfare, éparpillée de la Loge à l'Archipel, se reforme pour l'apéro (Lou Pintou est de la partie, bien sûr)près du Grenat. On les retrouve entre deux concerts au Carré l'après-midi entonnant Lou Pintou devant l'entrée de l'Archipel. Voir la galerie-photos | ![]() |
Final : place de la Loge et Castillet Place de la Loge, les élèves du Conservatoire et au Castillet, le Zaza Band mettent l'ambiance. Nous voilà avec les Jeudis de Perpignan le samedi à midi. Voir la galerie-photos | ![]() |
Final : la grande fanfare place de la République La longue journée du (presque) final commence avec la fanfare place de la république. Les traces d'Alain Gibert persistent. On déguste "lou pintou" de bonne heure et on n'a pas fini de l'entendre ! Voir la galerie-photos | ![]() |
Leucate : Zamballarana Il n'y a pas qu'à Salses qu'il fait du vent comme chacun le sait par ici. La journée "spécial planche à voile" avait fait hésiter certains. Les absents ont eu tort. Pas de concert dans la grande cour mais dans l'intimité de la pinède. Les Corses de Zamballarana n'étaient pas dépaysés et même parfaitement à l'aise. Chants corses mais pas que : musique festive aussi. Voir la galerie-photos | ![]() |
Leucate : les Petites Laines Rajoutez là-dessus les Petites Laines avec toute leur poésie (encore) vocale et visuelle, les moutons sur la mer, les ondulations de l'étang sous un ciel bleu à couper au couteau et on se dit que l'important n'est pas le bulletin météorologique mais ce qu'il peut sortir. L'improvisation, même dans l'organisation, ça peut construire une superbe journée. Voir la galerie-photos | ![]() |
Solo et Duo au château de Salses À Salses, le vent était de la partie et le ciel laqué bleu. Pas de grande cour (le vent…) mais pas d'écurie non plus cette année. La salle de concert était découverte. Les oiseaux rejoignaient parfois les musiciens : un lieu approprié à la poésie (un peu le thème de l'année, je trouve) de Jean-Charles Richard d'abord ; au fil lumineux que traçaient ensuite Maya Homberuger et Barry Guy de la musique médiévale à la musique contemporaine en passant par le baroque, le tout réinventé, libéré. Et, sûr, c'est encore une année à grande contrebasse Voir la galerie-photos | ![]() |
Jazzèbre à la fac : MeTaL-O-PHoNe Un trio plein d'idées, d'invention. Une bonne surprise et vu la jeunesse des impétrants, on ne devrait pas avoir fini de les entendre. Le lendemain, deux des membres du trio retrouvaient leurs compagnons de Radiation 10 au Conservatoire et on retrouvait l'invention des compositions. Pas de photos mais là aussi, on se dit qu'on aura l'occasion de revoir tout ce monde. Voir la galerie-photos | ![]() |
Kif kif à Elne et Planèzes ; L'effet Vapeur à Cabestany Kif kif, alias Gibert père et fils. La poésie auvergnate revisitée, touillée dans le chaudron de l'Arfi pour un monde poétique qui me touche toujours autant (atavisme lozérien peut-être) jamais figé, toujours prêt à filer aux quatre coins de la musique, de la ritournelle au contemporain sans jamais se perdre. Les copains de l'Arfi, eux, jouaient à Cabestany avec les images animées : des courts-métrages tous réussis et certains vraiment magiques. Un seul regret : ne pas avoir vu Alfred Spirli rentrer carrément dans l'image tant il y aurait été à sa place ! Voir la galerie-photos | ![]() |
Le train du Fenouillèdes : Auprès de ma Blonde et la fanfare Un temps aussi idéal que l'année précédente, juste un peu plus chaud. La fanfare a pu s'en donner à coeur joie dans le train, au Campérié et dans les gares. Une journée de collisions diverses : le chef (Daniel Malavergne) abandonnant ses troupes pour Auprès de ma Blonde où sévissait Alfred Spirli échappé de l'effet Vapeur tandis que Alain Gibert, échappé provisoirement de Kif kif, reprenait la main sur la fanfare dans laquelle s'intégrait Clément Gibert, le yang de Kif kif. Auprès de ma Blonde s'intégrait, ça va de soi, à tout. Débarquant de voiture à la gare de Maury, se mêlant à la fanfare, s'emmêlant aux spectateurs-acteurs d'un concert vagabond, se perdant dans les arbres mais jamais dans la musique. Une journée Jazzèbre à la campagne comme on les aime. Voir la galerie-photos | ![]() |
Jazzèbre à Torreilles et Juhègues Les cyclistes pédalent, pas la fanfare, qui même avant l'apéro, chauffe déjà à Torreilles avant de remettre ça à Juhègues. Et après le pique-nique, Vincent Mascart et son trio les Enchanteurs nous bal(l)adent. Pas de vélo mais la rencontre improbable d'une batterie et d'une vielle à roue autour d'un saxophone. Pas besoin de table de dissection pour goûter à la poésie de la chose.. Voir la galerie-photos | ![]() |
À Marcevol et à Cent mètres du Centre du Monde Juste quelques images pour rappeler de beaux concerts où la photo n'avait pas vraiment sa place mais la musique oui. À Marcevol, Renaud Garcia-Fons en solo dans le prieuré, un haut-lieu face au Canigou. Dans la galerie À Cent Mètres du Centre du Monde, Joëlle Léandre et Urs Leimgruber nous emmènent ailleurs et le voyage est beau. Voir la galerie-photos | ![]() |